Indochine est sans conteste le dernier groupe « monstre » français. Un groupe qui a su, à merveille, traverser les décades, toujours à se réinventer, innover, prendre des risques. Le public (son public) lui en a été toujours reconnaissant, de générations en générations. Frédérick Rapilly, journaliste rock dans l’âme, raconte 40 années de dissidences, d’indé-pendance, à travers une discographie riche, parcourue par des influences soniques, des prises de positions radicales, mais sans jamais s’éloigner d’une poétique rock.